Départ sans pression, avec pour seul objectif un test des chaussettes FYF. FreeyouFeet, The Swiss Barefoot Company.
They claim that you can run in them. You will see at the end that they have a quite limited view of what running is...
Le but de ce Marathon: Si elles lachent, je prends le bus.
Si je lache, je prends le bus.
Bref, no stress.
Mais si ça passe, c'est de bonne augure pour des courses plus longues, dont la CCC.
Vers 2h00 de course, le bassin bien bloqué. Alors je repère de la pelouse sur le côté et je fais qq Surya Namaskara. Et ça repart. Cela me permet de me faire dépasser par la sucette 4h30, ce qui était mon objectif: Surtout faire plus que 4h30 sinon il y avait un risque de casser ou bloquer qq chose d'encore branlant.
Vers 22 km, je cueille une fleur de lilas pour la humer. Avant de la bazarder, je décide de chercher une fille à qui l'offrir. C'est alors que je vois ces jeunes mariés japonais. Risa est ravie.
Puis je repars, et on rentre dans des chemins de petits graviers au milieu des champs. Une horreur. Les chaussettes tiennent mais on sent tout. Que des petits cailloux pointus sur plusieurs kms. Un calvaire. Seule solution: courir dans ls herbes sur le bord.
Et c'est là, vers 25 km, que je rencontre Sidy. Un grand Guinéen de Paris, qui court vraiment pieds nus, aussi sur l'herbe à cause de ces putains de cailloux, mais sur l'autre côté.
On finit les qq 15-17 km qui restent à parler course à pied, évolution de l'homme, histoire des religions et de leurs rapports avec l'esclavage, géopolitique post-coloniale, etc.
Après le tunnel de Vésennaz, je quitte mes chaussettes et finis vraiment pieds nus pour être raccord avec mon nouveau copain. On rencontre Flo au centre ville avant de rejoindre le quai Wilson.
Et c'est l'arrivée après un peu plus que 5h00 de course, sans douleur, sans rien casser, sans ampoules.
Et voilà le résumé officiel du Marathon de Genève 2016.
Et pour finir qq bonnes bières pour la récup et du quality time au jardin anglais avec ma chérie.
Ah, et j'oubliais, les Swiss Socks FYF, c'est peut-être pour faire du kite-surf sans se couper les pieds sur les huitres, mais pour un marathon, c'est moins solide que la peau des pieds de Sidy.
Leur pub est limite mensongère.
A comparer l'usure de leur super-chaussettes en Dyneema, 15 fois plus solide que l'acier... avec leur pub,
ahahahhahha
They claim that you can run in them. You will see at the end that they have a quite limited view of what running is...
Le but de ce Marathon: Si elles lachent, je prends le bus.
Si je lache, je prends le bus.
Bref, no stress.
Mais si ça passe, c'est de bonne augure pour des courses plus longues, dont la CCC.
Vers 2h00 de course, le bassin bien bloqué. Alors je repère de la pelouse sur le côté et je fais qq Surya Namaskara. Et ça repart. Cela me permet de me faire dépasser par la sucette 4h30, ce qui était mon objectif: Surtout faire plus que 4h30 sinon il y avait un risque de casser ou bloquer qq chose d'encore branlant.
Vers 22 km, je cueille une fleur de lilas pour la humer. Avant de la bazarder, je décide de chercher une fille à qui l'offrir. C'est alors que je vois ces jeunes mariés japonais. Risa est ravie.
Puis je repars, et on rentre dans des chemins de petits graviers au milieu des champs. Une horreur. Les chaussettes tiennent mais on sent tout. Que des petits cailloux pointus sur plusieurs kms. Un calvaire. Seule solution: courir dans ls herbes sur le bord.
Et c'est là, vers 25 km, que je rencontre Sidy. Un grand Guinéen de Paris, qui court vraiment pieds nus, aussi sur l'herbe à cause de ces putains de cailloux, mais sur l'autre côté.
On finit les qq 15-17 km qui restent à parler course à pied, évolution de l'homme, histoire des religions et de leurs rapports avec l'esclavage, géopolitique post-coloniale, etc.
Après le tunnel de Vésennaz, je quitte mes chaussettes et finis vraiment pieds nus pour être raccord avec mon nouveau copain. On rencontre Flo au centre ville avant de rejoindre le quai Wilson.
Et c'est l'arrivée après un peu plus que 5h00 de course, sans douleur, sans rien casser, sans ampoules.
Et voilà le résumé officiel du Marathon de Genève 2016.
Et pour finir qq bonnes bières pour la récup et du quality time au jardin anglais avec ma chérie.
Ah, et j'oubliais, les Swiss Socks FYF, c'est peut-être pour faire du kite-surf sans se couper les pieds sur les huitres, mais pour un marathon, c'est moins solide que la peau des pieds de Sidy.
Leur pub est limite mensongère.
A comparer l'usure de leur super-chaussettes en Dyneema, 15 fois plus solide que l'acier... avec leur pub,
ahahahhahha
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